- Nom : Mitchell

- Prénom : Henry

- Surnom éventuel : Hem…il vaut mieux éviter de lu en donner, question de sécurité.

- Age : 33 printemps...

- Sexe : Homme, dernière nouvelle bien sûr^^

- Race : Hum…humain avec des tendances d’ange gardien avec ses enfants et sa femme.

- Camp : le Bien

- Milieu social (Riche, pauvre ...) : Milieu modeste. Il n’a jamais été un gosse pourri gâté.

- Métier : Haha, officier de police, et plus précisément, il court après les délinquants.

- Pouvoirs (limité à 2 1 ! *) : Hum…aucun

- Equipement ou objets éventuels votre personnage : Mise à part sa plaque de policier, et son arme à feu, il ne possède aucun autre objet bien important. Henry n’est pas un type matérialiste.

- Un petit plus de votre personnage ? (facultatif) : Henry vit le parfait amour avec Paige, mais il a peur ces temps ci que celle-ci ne suive le comportement de ses sœurs.

- Description physique (minimum de 5 lignes, soit environ 110 mots / Pas de « voir avatar » !) : A première vue, Henry parait comme sortant tout droit d’un pénitencier. Le regard dur, une barbe naissante et la stature élancée et robuste, il semble le stéréotype même du voyou prêt à vous agresser à tout moment. A vrai dire, ce regard froid est dû à cette enfance difficile qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui, c'est-à-dire un des meilleurs officiers de probation de San Francisco. En effet, Henry n’est en rien un homme mauvais. Mais il est vrai que certains moments de sa vie ont fait de lui un être aussi froid et dur que l’acier.

Mais plus précisément, sa carrure n’est faite que de muscles sans cesse entretenus par ces courses poursuites qui rythment sa vie de tous les jours. Grand de taille, son profil finement ciselé rappelle sans équivoque le corps élancé d’un athlète.

L’un des détails qui attire particulièrement l’attention, sans évoquer son regard d’une noirceur meurtrière et envoûtante, c’est son sourire. Les traits de son visage sont glaciaux, distants. Mais lorsque ce dernier se fend d’un sourire radieux, le plus beau des soleils illuminent son regard et offre un bonheur indescriptible à ceux qui ont la chance de le croiser. Paige elle-même ne saurait contre dire ces mots, elle qui ne parvient pas à le décrire tant il est divin. Mais attention, Henry n’est pas un ange, et connaît cet atout qui lui permet bien souvent de tourner la situation en sa faveur. Ce qu’il sait particulièrement bien faire avec sa femme.

Ses mains aussi interpellent lorsqu’on apprend à le connaître. Henry est un homme de terrain, c’est indéniable. Pourtant, et depuis sa plus tendre enfance, le beau policier aime dessiner tout ce qui lui passe par la tête, ou qui se déroule devant ses yeux. C’est pourquoi, et depuis qu’il est tombé fol amoureux de la cadette des Halliwell, il se pousse à représenter tous les démons qu’il lui est amené de croiser, au plus grand bonheur de ses enfants.
Au-delà de cela, Henry ne possède pas une physionomie extraordinaire. Il ne possède pas deux têtes ou trois jambes. C’est un homme ordinaire qui a su séduire l’une des plus puissantes sorcières du monde magique. Portant bien souvent un simple jeans foncé et une veste en cuire couleur marron, il n’est pas du genre extraverti et préfère se fondre dans la masse.

- Personnalité, caractère (minimum de 5 lignes, soit environ 110 mots) :
Avant sa rencontre avec sa bien-aimée, Henry était du genre secret et plus que renfermé. Ne s’ouvrant qu’à très peu d’occasions-à vrai dire, il pourrait compter ces moments sur les doigts de sa main, c’était un homme extrêmement méfiant. D’ailleurs, en dehors de sa petite famille, il le restera surement toute sa vie. Les moments de l’enfance marquent chaque personne, et laissent des traces indélébiles. Ce sont eux qui font les êtres que nous sommes. Henry ne déroge pas à la règle. Et même plus encore, ces moments là lui ont tracés son destin. Pourquoi croyez-vous qu’il est devenu officier de probation ?
Mais au-delà de son côté glacial et méfiant, Henry est un être attachant et sensible. Le cœur sur la main, il serait prêt à remuer ciel et terre pour sauver sa femme et ses enfants, tant l’amour qu’il leur porte est grand. Et oui, malgré les apparences, Henry est un vieux romantique qui est persuadé que son rôle est de protéger les siens. A tel point qu’il a du mal à accepter son statut de mortel au milieu d’un foyer grouillant de pouvoirs fabuleux. Mais bon, on ne choisit pas notre nature. Et le beau ténébreux à ses propres démons à combattre et à dresser.

Indomptable, insaisissable ? Vous avez tout compris. Henry est libre comme le vent et mystérieux comme la nuit. Pourtant, à défaut d’être terre à terre, ce « flic » est un utopiste et rêveur en prime. Il a toujours son nez pointé vers les étoiles, lorsqu’il sait que le danger ne le guette point. Mais ce jeune père est plus qu’observateur, et le moindre détail ne lui échappe pas. Alors ne tentez pas de l’attaquer par derrière ou vous auriez bien des surprises.

En définitive, Henry est un homme intelligent et séduisant qui sait se maîtriser dans n’importe quelle situation. D’un calme presque énervant, il parvient presque à chaque fois à dominer ses pulsions et préfère relativiser plutôt que de céder à la panique. Il n’est pas du genre tête brûlée et tente, petit à petit d’inculquer cette qualité à sa femme qui est, elle, bien souvent irréfléchie et têtue (un défaut qu’ils possèdent en commun, ce qui provoque bien des étincelles…).

Enfin, l’un des seuls défauts qu’on pourrait lui reprocher serait son manque de diplomatie. Doté d’un franc-parler inégalable, il ose dire le fond de sa pensée même lorsque le moment prêterait plutôt à la finesse ce qui lui entraîne quelques problèmes avec ses supérieurs. En effet, ses mots peuvent être plus douloureux qu’une gifle car sa franchise n’épargne personne. En d’autre terme, Henry peut être aussi doux qu’un agneau mais aussi violent qu’un loup. Même si la plupart du temps, il parvient à se maîtriser…

- Histoire personnelle (minimum de 10 lignes, soit environ 235 mots) : Henry histoire.

Toutes les histoires commencent par il était une fois. Mais dès son plus jeune âge, sa vie ne ressembla pas à un conte de fée. Henry ne connut pas la joie d’un foyer accueillant, d’une mère qui vous prend dans ses bras dès que vous vous êtes fait mal, ou un père aimant qui vous fabrique un cheval à bascule en bois pour vos quatre ans. Lui, il ne sut même pas quel goût avait le lait de sa mère. Seule l’odeur poussiéreuse des vieux murs du foyer qui l’avait « accueilli » lui revenait en mémoire chaque fois qu’il repensait à son enfance. Si l’on peut appeler ça une enfance. Henry était un orphelin parmi les milliers d’enfants qui rôdaient dans les rues, dans les orphelinats, ou encore…dans les foyers.

Cependant, il n’était pas casse-cou comme la plupart d’entre eux, à toujours vouloir être le plus fort, le plus méprisant et le plus méchant. Non, ayant appris très vite les valeurs importantes de la vie, il sut se faire respecter sans vraiment avoir recours à ces artifices qui, un jour ou l’autre, vous poignardent dans le dos.

Pourtant cette intelligence ne lui fut pas d’un grand secours lorsqu’il fut placé en famille d’accueil. Henry était, et demeure toujours un homme renfermé, qui pense n’avoir besoin de personne, mais surtout, qui a du mal à faire confiance. Ainsi, à chaque famille d’accueil, et sans exception, il demeurait le temps de dîner le soir, et la nuit tombée, il en profitait pour fuguer loin de ses hypocrites. Car c’était ainsi qu’il voyait ces familles qui adoptaient des orphelins seulement pour se donner bonne conscience. Avec leurs sourires forcés, leurs petites caresses qui sentent le cinéma à plein nez, et ces promesses qu’on ne cesse d’entendre, qu’on a bien sûr envie de croire, mais qui ne sont jamais respectées… non, il en avait déjà assez vu pour retomber dans le panneau une seconde fois. En effet, lors de sa première fois, comme disent les jeunes de foyer, Henry n’était pas vraiment réticent pour partir hors de ces vieux murs moisis et aller vivre au grand air, avec une famille, qui, peut être l’aimera pour ce qu’il est. Les premiers jours se passèrent à merveilles. Il fut traité comme un petit roi, du haut de ses huit ans. Gâté de tous les côtés, il se sentait alors véritablement apprécié, peut être même aimé par ces gens qu’il ne connaissait à peine. Mais il ne comprit que bien plus tard que ce manège n’était qu’un subterfuge pour simplement l’amadouer, voire l’acheter. Au bout d’une semaine à peine, il était à quatre pattes sur le sol et frottait le carrelage de ses petits doigts d’enfant. Ce ne sera que quelques jours plus tard, lors d’un contrôle de routine, qu’un des employés du foyer nota les bleus qui parsemaient le corps de petit boude chou. La famille tenta alors de se défendre comme elle put, mais Henry retourna illico au foyer, et ses bourreaux furent poursuivit en justice pour maltraitance d’enfants.
Dès ce moment, il se jura de ne jamais quitter son foyer pour une famille d’inconnus.

Ainsi, son enfance et son adolescence se déroulèrent de la sorte. Il alla de famille en famille, répétant à chaque fois le même scénario, jusqu’à que le foyer comprenne enfin qu’il ne quitterait pas ces locaux. Il y demeura jusqu’à ses dix-huit ans.

Dès l’instant où la majorité le frappa, Henry décréta qu’il était temps qu’il se prenne en main seul. La vie ne l’avait pas épargné, mais c’était pour mieux le forger à ce qui l’attendait dehors. Et de ça, il n’avait pas réellement tord. Toutefois, le jeune home se dirigea vers une branche que personne n’aurait pu prévoir, mise à part lui. La plus part du temps, les jeunes en difficulté tel que lui finissaient voyous, ou membre d’un gang, ou même dealer, qui sait. Mais pas flic.


Et lui choisi la voie la plus sage mais la plus parsemée d’embuches. Officier de probation…Mais après tout, qui mieux qu’un jeune de la rue peut aider un jeune délinquant ? Henry en fit son métier, qu’il chérit plus que tout.

Peut être même un peu trop. Bien trop impliqué dans son travail, il en oublie parfois de vivre, à tel point que les seules femmes ayant partagé sa vie n’étaient que des amourettes de passage sans réelle importance. Mais, et même si elle ne fut pas des plus glorieuses, sa rencontre avec Paige changea toute la donne. Henry n’est pas, par nature un homme extravagant et il ne fait, de ce fait, pas confiance aux gens en général. Mais, alors qu’il faillit l’écraser (du point de Paige) tandis qu’ils pourchassaient le même garçon, un lien se créa entre les deux. Un lien qui ne fit surface que quelques temps plus tard. Une sorte d’attirance naquit entre Henry et Paige, de telle sorte que leurs chemins se croisaient sans arrêt alors qu’eux même niait tout en bloque. Jusqu’au jour où l’évidence fut tellement grande qu’ils ne purent que s’y soumettre et admettre qu’en fait…ils étaient simplement amoureux l’un de l’autre.

Dès lors tout se passa rapidement et les deux tourtereaux, malgré certaines expériences négatives, finirent par se dire oui. Ce oui que tout être humain souhaite pouvoir prononcer à la personne qu’il aime de tout son cœur…
Sauf que Paige et Henry ne sont pas des personnes ordinaires, et même lorsque le bonheur rôde, ils parviennent à se mettre dans des situations impensables. A l’approche de leur mariage, le couple ne cessait de se disputer pour un rien : un bouchon de dentifrice mal fermé, des ronflements un peu trop fort…Paige était vraiment invivable. Mais tant amoureux l’un de l’autre, leur ménage tint bon et ils se marièrent le lendemain de la mort de la Triade. Enfin…la mort…

C’est terrible de…de vivre avec une femme qui peut mourir du jour au lendemain, lors d’un combat qui tourne mal. Et de ne pouvoir rien faire pour l’empêcher. Lorsque les filles luttèrent contre l’ultime pouvoir, Henry fut encore mis à l’écart, et une nouvelle fois, il ne put compter que sur ses prières. Seulement accompagné de son inquiétude, il attendit le coup de téléphone qui lui assurerait que sa femme était toujours en vie.
Et par chance, il vint.

Suite à cet épisode, ils parvinrent enfin à vivre heureux. L’apparition de démons se faisant de plus en plus rare, Henry et Paige vécurent enfin tranquilles, habitant dans une petite maison agréable et pleine de vie. Et lorsque le ventre de sa belle vint à s’arrondir, l’officier sentit enfin son rêve d’enfant se réaliser : il avait une femme qui l’aimait, une maison chaleureuse et bientôt un enfant à chérir. Un enfant à chérir…Visiblement le destin considéra qu’ils avaient tant d’amour à offrir que deux petites têtes blondes naquirent, 9 mois plus tard, en hurlant la vie. Deux petites jumelles qui emplirent leurs cœurs de bonheur et de joie…
Toutefois, les heureux évènements n’arrivent jamais seuls, et quelques temps plus tard, alors que des êtres puissants appelés Fondateurs vinrent reprendre Léo pour une raison qui lui échappa, Piper se détourna du bien et de ses sœurs pour dévier vers le mal. Ce fut à cet instant que Henry sentit la force des liens de sang qui liait les sœurs Halliwell. En effet, dès ce moment, le policier comprit que sa femme risquait de suivre les chemins de son aînée et il décida de se battre pour la garder du bon côté-même s’il savait que s’il arrivait qu’elle tombe dans le mal, il la suivrait jusque dans les limbes…

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