Charmed's Chaos
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 Quand on ne sait pas : on ne dit rien !

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Esméraldà L. Thompson
Esméraldà L. Thompson

Être maléfique

Être maléfique

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MessageSujet: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeDim 3 Jan - 1:51

Quand on ne sait pas, on ne dit rien !
Libre =)


Ce matin, je m'étais levée, presque indifférente. C'était une journée comme les autres, après tout ! Je regardais le mur de ma chambre pendant une dizaine de minute sans bouger. J'étais morte de fatigue. C'était ça, le pire, c'est que j'étais crevée sans n'avoir rien fait. Stupide fille ! Enfin, je pris conscience que le mur de ma chambre ne me dirais rien puis je filais à la salle de bain. Je fis couler l'eau de la douche qui était en faite un bain et quand elle fut chaude, j'envoyais valser mon pyjama je ne sais pas ou dans la pièce. Je passais l'eau chaud sur mon corps et fermais les yeux. Ça faisait un bien fou ! Quelques instants plus tard, je me décidais enfin à sortir de la douche bien chaude -à regret, bien entendu- et je filais enfiler des vêtements. Un large décolleté noir, un jeans foncé taille basse et des baskets. Je serais bien plus à l'aise. Mon ventre gronda soudain : il me rappelait que j'avais faim. J'étais maintenant bien réveillée. Je descendais les escalier rapidement -trop rapidement- et rentrais dans la cuisine. Je décidais de me faire une tartine au Nutella. C'était le meilleur, bien entendu. Une fois finis, je décidais de ne pas aller en cours. De toute façon, ça n'avait plus d'importance, puisque je comptais les arrêter, justement. Je sortais, mon sac à main sur le bras et fermais la porte à clé. Je décidais d'aller en ville et ayant mon permis de conduire, j'avais ma voiture -certes petite-.

Quelques temps plus tard, après m'être garé dans un parking, je décidais de marcher un peu. Je n'étais pas très connue ici, c'était tant mieux. Je n'avais pas envie que les gens s'aperçoivent que j'avais séché les cours ! Je soufflais rapidement, avant de reprendre ma route. Et si j'allais faire un peu de shopping ? Pourquoi pas ? Rien ne m'en empêchais ! J'entrais dans un magasin et regardais les nombreuses allées remplies de pantalons, de t-shirt, de veste ... et j'en passe. J'essayais quelques pantalons, quelques décolletés -important ça !- et une veste. Ils m'aillaient comme un gant. Je me dirigeais vers la caisse et payais sans soucis. Dehors, je me baladais à nouveau. Je vis un magasin de musique et je m'arrêtais devant. Je rêvais d'une guitare ! Et bientôt, je pourrais me l'offrir et commencer à apprendre ! Je sais que j'apprends vite !



Dernière édition par Esméraldà L. Thompson le Mar 18 Mai - 23:48, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeMar 5 Jan - 21:43


Le silence est une vertu dont les victimes sont incapable de faire preuve. Quel était l'intérêt de supplier un démon ? Ils n'ont aucun coeur, pas de pitié. Enfin passons. Il était simplement temps que j'en finisse avec celui-ci.. j'avais tout simplement horreur que l'on me drague sans que je sois disposée à l'être, et en l'occurrence, il n'avait pas prit en compte mes avertissements alors il pouvait aller au Diable !

« - Pitié ! Pitié ! Ne.. » la voix suppliante du jeune homme s'interrompit dans un cri de douleur, dernier expression de souffrance pour lui.. Il ne tarderait pas à pousser son soupir final, mais bien entendu, je ne serais pas là pour le voir.

Tuer ? Ce n'était plus un problème depuis longtemps. J'ai toujours croisé le mal, j'y suis née, j'en fais aujourd'hui parti, autant dire que les innocents n'ont jamais été ma priorité. L'essentiel était mon bien être personnel, ma mission, car j'avais effectivement quelque chose à accomplir dans cette ville qui me restait, quelque part, étrangère. Mon moment de défoulement passé, je choisi de rentrer à la chambre d'hôtel que je louais, histoire d'éliminer le sable et le sang tâchant la robe que je portais. Il fallait dire que venir à bout d'un homme restait un objectif plus complexe à réaliser lorsque les pouvoirs que l'on possède sont limités et surtout, absolument pas offensif.

« - La chambre 333, s'il vous plaît.. » demandais à l'accueil, désirant récupérer les clefs de cette antre calme et reposante. Ce n'était certes pas du grand luxe, toutefois j'appréciais le design moderne et la simplicité unies en ces lieux. Une fois l'objet de mon désir récupéré, je choisi de filer dans l'ascenseur sans prendre la peine de regarder les personnes qui se trouvaient autour de moi.. à vrai dire, nous ne devions pas être plus de 4 ou 5, et j'avais autre chose en tête. 1 étage.. 2 étages.. 3 étages.. arrivée à destination. Diable que ce fut long. Je n'avais qu'une hâte, prendre une douche. Ouvrant donc la porte une fois arrivée à ce fameux numéro bénit, j'entrais dans dans la chambre au décor oscillant entre les blancs, les rouges et les noirs, pour offrir une ambiance détendue mais colorée.

Sans plus attendre, je me suis précipitée vers la salle de bain où j'ai retiré mes vêtements pour me plonger dans le bain chaud qui m'offrait ses bras. Chacun de mes muscles se sont détendus, et j'ai fermé les yeux sur le silence le plus doux qu'il m'ait été donné d'apprécier. J'ignore combien de temps je suis restée là, dans la mousse, les bulles et les odeurs parfumées, mais lorsque je suis sortie, le soleil avait changé de place. Une heure ? Deux heures peut-être ? Qu'importait. M'enroulant dans une serviette d'un blanc immaculé, je me contemplais un instant dans le miroir face à moi avant de me détourner de mon reflet et de filer vers la penderie. Hum.. Une légère hésitation plus tard et j'enfilais un haut rouge au décolleté léger, élégant mais pas moins attirant, ainsi qu'un jean et des chaussures noires aux talons raisonnables. J'étais au moins habillée, il ne me restais plus qu'à sécher mes longs cheveux sombres, ce que je fis rapidement avant de les attacher.. et j'étais fin prête pour une nouvelle virée en ville.

Reprenant mon sac et y rangeant mon appareil photo – outil de travail et ami de toujours – je sortis de la chambre et referma la porte à clef. « - Je reviens dans quelques heures.. » ais-je expliqué au réceptionniste avant de m'éclipser du hall dans lequel j'étais arrivée par les escaliers cette fois-ci. L'odeur de carburants, d'essences, de parfums différents, vint emplir mes poumons pour me confirmer que j'étais à nouveau libre dans les rues d'une ville qui me tendait les bras. Peut-être pourrais-je faire de merveilleux clichés sur ma route ? Seul le hasard me le dirait. J'avais envie de marcher, ainsi laissais-je mes pas me guider au travers des nombreuses rues, sans prêter attention aux détours que j'empruntais. Obnubilée par les différents mouvements, les couleurs et la clarté des lieux, je finis par percuter quelqu'un, sans grande violence toutefois. Mon regard sombre vint se poser sur celle que j'avais faillit blesser avant que je me souvienne qu'ici, j'avais tout intérêt à me faire discrète.

« - Oh excusez-moi ! » ais-je donc lancé, feintant une grande confusion et l'innocence parfaite.. c'est là que l'on pouvait remercier les quelques années de théâtre de mon enfance.
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Esméraldà L. Thompson
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MessageSujet: Re: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeMar 5 Jan - 22:55


Ho vous savez, les guitares, c'était une passion que j'avais depuis toute petite. J'ai vu plusieurs chanteurs passer en direct avec des guitares et le sons fabuleux que cet instrument produisait. En plus d'avoir un son hors du commun, cet instrument était beau et j'étais presque sûre que les mortels étaient sous leur charme, tout comme moi. Mais je n'étais pas une mortelle. Physiquement, si. Enfin bref, je n'ai pas à m'expliquer, mais il fallait que je fasse bien attention à ce que je faisais. Notamment, ne pas utiliser mes pouvoirs. C'est stupide, mais il fallait que je me le rappelle ! Bref, cette guitare m'attirait tellement que j'avais bien envie de dévaliser un magasin. Si je m'écoutais, je le ferais. Mais je ne m'écoute jamais, ni moi, ni les autres, alors à quoi bon ? Je me souvenais qu'enfant, j'aimais chanter, ce qui me passionne encore, d'ailleurs. A la fin de mes études, si je ne les arrêtes pas plus tôt -et avouez, c'est tentant-, je voudrais être chanteuse. Chanteuse avec ma guitare, ma voix, mes textes et mon argent qui m'attend, bien confortablement dans les portefeuilles des gens. Non, je ne suis pas avare, j'ai juste envie d'argent, bien que ça ne me servent pas. Je n'étais pas immortelle, donc finalement, ça pourrait me servir. Il faudrait peut-être que je trouve la pierre philosophale, non ? Se serrait une bonne idée, mais je me ferais prendre pour une folle et ça, je ne veux pas : je dois rester discrète. Je grognais quelques instants, regardant le prix que la guitare coutait. Soudain, je retins un gémissement. Je m'étais fait percutée de plein fouet par quelque chose, quelque chose que je n'avais pas vu. Et qui m'était arrivé de front ! Était-ce un projectile ? Trop lourd ? Un humain ? Possible. Je penchais pour cette théorie quand j'ouvris les yeux. J'étais par terre et j'avais pris quelque secondes avant de me relever. Mes sacs étaient à terre et la jeune fille -oui, j'ai bien dit ça- me regardait avec un air désolé. Trop désolé pour être vrai. Elle avait fait des cours de théâtres, ou quelque chose du genre. C'était trop bien fait. Je la regardais droit dans les yeux, n'ayant pas peur. Je ramassais mes sacs et lâchant ses prunelles, me redressais subitement. Cette jeune femme était vraiment étrange. Ce ne pouvait pas être un démon, je le savais. Non, mais c'était une femme surnaturelle, si je puis dire. Du Coté maléfique, sans doute, parce qu'un être bénéfique se serrait empressé de m'aider. Et je n'aimais pas qu'on m'aide. Cette jeune femme semblait être plus âgée que moi, mais ne les paraissait pas. Elle était belle. Sa silhouette me rappelait quelque chose et j'eus bien peur de tomber sur la bonne réponse. Quoique, je n'avais pas peur et je m'en fichais. Ce raisonnement ne m'avait pris que quelques secondes et la minute suivante -après un étrange silence-, je pris la parole, soudain curieuse. Mi-curieuse mi-intéressée. D'accord, ce doit être la même chose.

« Ce n'est rien. »
Avais-je finis pas dire. « Je suis Esméraldà Thompson. »

C'était comme cela que ce comportaient des humains. Je failli lui tendre ma main, mais je n'y fit rien. Cette fille était malpolie et pourtant, quelque chose me disait que j'aimais ça. Elle avait de l'assurance et et elle semblait être forte. Je me demandais si c'était un être maléfique. Peut-être qu'elle l'était et dans ce cas, ça m'aiderait beaucoup et si elle ne l'était pas, et bien, c'était dommage, mais après tout, je m'en fichais. Il fallait que je me comporte en fille bien élevée, comme le ferais les humains. Comme je l'ai dit plus haut. Finalement, je décidais de jeter un coup d'oeil à ses vêtements. Elle était élégamment vêtue. Cet sa silhouette -d'après ce que je voyais autour de moi- semblait attirer les regard. Deux jeunes femmes seules, aux silhouettes très abordables, pour être de nouveau polie -j'allais finir par être gentille !- et surtout seules, c'était des proies faciles. Heureusement qu'une citation dit ceci : Ne te fis jamais aux apparences ; elles peuvent être trompeuses. Je ne m'y reprendrais plus. Quand j'y pensais, je me disais qu'il fallait que je m'entraine. Je savais bien utiliser certains de mes pouvoirs, mais d'autres méritaient que je les canalisent et que j'apprenne à les utiliser. Il me faudrait quelqu'un pour apprendre, à moi d'apprendre seule ... De nouveau, mes prunelles fixèrent celles de l'inconnue. J'espérais déceler quelque chose qui me prouverait que j'avais raison. Je vis soudain son appareil photo. Était-ce pour faire comme tout le monde ?



Dernière édition par Esméraldà L. Thompson le Mar 18 Mai - 23:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeMar 5 Jan - 23:57


Je ne comptais pas l'aider, après tout, elle se trouvait sur mon chemin et avait manqué me faire faire une belle chute, par chance mon entraînement physique et mes réflexes me permirent une belle pirouette de rattrapage puisque je me suis appuyée contre la vitrine du magasin ce qui m'aida à retrouver l'équilibre. Une fois remise sur mes deux pieds sans risque de m'embroncher, je pris le temps de détailler mon interlocutrice.. Elle était bien jeune pour baver devant une guitare à ce prix.. d'ailleurs, elle était réellement hors de prix. Je n'aurais su décrire ce que je percevais de son regard, ses deux prunelles claires affichant bien trop de choses pour que je puisse les détailler, et de toute façon, je n'avais pas envie de le faire au risque que mon don d'empathie me fasse un caprice. Franchement, j'avais autre chose à faire que de me plonger dans l'esprit d'une adolescente que je ne recroiserais peut-être jamais.

Soupirant un instant en attendant qu'elle se relève, je m'intéressais vaguement à son attitude, sa façon d'agir, ne voulant pas me faire prendre par un contact humain tel qu'une poignée de main qui se serait avérée chargée en émotions. Par chance ma négligence – je ne l'avais pas aidée, après tout – avait l'air de l'avoir assez dérangé pour qu'elle se contente de quelques mots et d'une succinte présentation. Qu'en avais-je à faire, de son identité ? Okey, c'était la politesse et après ce que je lui avais fait, il était peut-être préférable de lui retourner les banalités humaines dont chacun semble avoir l'habitude à San Francisco Past.

« - Mélinda. Mélinda Hatson. » me contentais-je de répondre, dans le simple but d'alimenter la sorte de conversation qu'elle semblait vouloir instaurer. Pourquoi cette gamine voulait-elle parler ? Se sentait-elle seule ? De toute façon, ce n'étais pas mon problème, j'avais bien d'autres choses en tête que les banalités de la vie mortelle.

Ses prunelles se fixèrent sur les miennes, et détestant les tentatives de domination dans le genre, je soutenais son regard avec intensité, mes yeux d'un noisette presqu'assez sombre pour passer pour du noir ne quittant pas les siens. L'intérêt ? Je ne le connaissais pas, mais bon, c'est un contact comme un autre après tout.. je craignais simplement d'aller trop loin, ne désirant pas finir dans son coeur. Je sentais bien le regard de quelques passant se poser sur nous, mais je n'étais guère préoccupée par cela, je me savais hors de danger et j'étais assez occupée aujourd'hui pour ne pas avoir besoin d'une autre victime pour passer le temps.

« - Humm.. Elle est vraiment très chère.. » commentais-je, n'appréciant pas réellement le silence et désirant couper le tête à tête visuel pour porter l'attention sur l'objet de convoitise de l'adolescente.
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MessageSujet: Re: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeMer 6 Jan - 0:26

Je la regardais et elle avait finis par s'en apercevoir. Enfin. Non, en faite tout se passa vite. Je changeais vite d'avis, j'en étais consciente. Mais après tout, je m'en fichais. De ça, et de tout le reste. Je me demandais ou je pourrais aller pour m'entrainer et une fois le contact des yeux rompu, je pus lever les yeux au ciel, pour m'intéresser quelques secondes à mon prochain endroit de convoitise. Il fallait que je trouve un endroit désert et une maison. C'est mieux ainsi. Il fallait que je m'achète une maison et ça m'ennuyait tout particulièrement : Quelle adolescente achèterait une maison pour elle seule ? Allez savoir. Mais pourquoi pas, après tout ? Bref, le temps de penser à cela et mon interlocutrice avait finis par me donner son nom. Mélinda. C'était un assez joli nom. Je me concentrais sur ma matière en histoire, non, pas l'histoire traditionnelle, celle de mon monde, si je puis dire. L'Histoire de la magie. Et peu de sorcières s'appelaient Mélinda. Il y avait entre autre celle qui avait débuté la Prophétie du Pouvoir des Trois - à présent presque rompu si je me souvenais bien- et une autre, descendante des Halliwell. Je m'étais informée et surtout, j'avais observé durant quelques jours voir des semaines les Halliwell. Pas assez longtemps pour tout comprendre, mais juste assez pour comprendre qu'il y avait des descendants, c'est tout ce dont je savais. Très français comment je parle ! Bref. J'avais eu le temps de penser à cela. Le silence qui s'était installé devenait gênant. Même en étant une sorcière, je n'aimais pas les silences. Mes prunelles glissèrent rapidement sur la guitare hors de prix -du moins, pour l'instant et j'y compte bien- et je remarquais que la jeune fille, Mélinda, la regardait aussi. J'haussais les sourcils d'étonnement puis les fronçaient. Voulait-elle l'acheter aussi ? Non mais, c'était ma guitare ! Je vis alors une mimique qui ne m'échappait jamais -même celle de mes parents- : c'était trop cher pour elle aussi. Bam ! J'étais pas la seule ! Je me comportait en gamine là, je le sentais. Je respirais calmement, sentant que j'avais retrouver un rythme cardiaque normal. Le silence était vraiment trop gênant et elle avait finit par le casser. Elle parlait de ma guitare ! Enfin, la mienne si je puis dire. Il fallait que je dise quelque chose. Mais je ne savais pas quoi. D'ailleurs, si on était autre part, j'aurais pu lui poser la question, mais ici il y avait de nombreux témoins, de nombreux mortels et je n'avais pas envie que l'on découvre ce que nous étions. Après tout, nous devions aussi garder le silence sur ce que nous étions. Mais quel homme voudrais d'une femme sorcière ? A part un être magique ? Même si certains étaient beau, je le savais, mais je me posais la question. Je sais, j'ai encore beaucoup de temps devant moi. Je décidais finalement de rompre le nouveau silence qui s'était installé.

« Oui, elle est vraiment ... trop chère pour moi. Dommage. »

J'étais pratiquement sur qu'elle se fichait de ce que je ressentais. Mais sait-on jamais. Mon regard glissa sur son sac. Je voyais une forme qui je connaissais. Sans doute une broutille. Mais je ne voyais plus ce que je pouvais dire, si ce n'était que je voulais rencontrer quelqu'un comme moi. Ou presque, mais vous me comprenez, j'en suis sûre. Les humais défilaient et le soleil aussi. Malgré tout, il nous restait des heures et des heures. Et nous n'avions pas finis. Près de la guitare je remarquais une batterie. Une batterie encore plus chère que ma chère guitare. Bande de dingue ! Y avait-il un autre magasin ? Un magasin de musique, s'entend ! Mais ils sont tous cher. Je maudissais les prix quelques instants en parlant dans ma barbe -si je parlais dans ma barbe ...- puis me repris. Je vis un fil dépasser de son sac, et je fis semblant de ne rien avoir vu. Elle faisait des photos ? J'aimais beaucoup prendre des photos, même si n'était pas très douée. Et les paysages, à San Fransisco sans parfois merveilleux quand vous savez ce que vous voulez. Je viens de parler comme une gentille fille, moi ! Il faut que j'arrête ... Je décidais d'engager la conversation. J'avais les yeux fin ... Comme un faucon ! /SBAF/.

« Êtes vous photographe ? »

A priori, oui. Je le savais, mais c'était une façon d'engager la conversation, l'air de rien. Je mentais bien, peut-être pas aussi bien qu'elle, n'ayant jamais eu droit à des cours de théâtre -à noter, prendre des cours de théâtre-, mais je savais mentir. Même si là, je ne mentais pas. Bref. Il fallait que je me souvienne que le théâtre, c'était très utile pour apprendre à cacher ses expression aux gens, aux mortels. je me demandais si elle pouvait deviner si j'étais une sorcière. Et si elle avait le pouvoir de prémonition ? Ho j'étais foutue ! Mais c'était peut-être pas le cas. Je pariais beaucoup -dans ma tête- que les dons prémonitoires n'étaient pas toujours contrôler. Enfin, je me comprend. Et si elle avait d'autre dons en sa possession ? Si elle découvrais qui j'étais ? Soudain, une ombre d'inquiétude passa sur mes prunelles puis je me ressaisissais. J'espérais assez vite pour qu'elle ne le vois pas. Et si c'était une sorcière bienveillante ? j'étais mal barrée jusqu'au cou, moi ! Mais si c'était une sorcière malveillante -bien que j'avais que l'idée est tordue et sans doute inacceptable- peut-être pourrions nous faire équipe ?! Bien que je m'étais à moitié convaincue, je laissais tomber l'idée : une sorcière maléfique n'accepte que rarement ces choses là.


Dernière édition par Esméraldà L. Thompson le Mar 18 Mai - 23:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeVen 8 Jan - 13:38

Colère ou jalousie, je n'aurais su le dire, mais le sentiment me parvint comme une rafale grondante, déstabilisante. Ma vision se fit floue quelques instants avant que je ne retrouve mes complètes facultés et que je parvienne à retrouver le fil de la conversation. Trop chère pour elle ? De quoi ? Oh oui, la guitare ! A vrai dire, cet objet me semblait si insignifiant que j'en avais déjà oublié mon commentaire précédent. C'était certainement une préoccupation d'adolescente en rêve de gloire. Personnellement, j'avais passé l'âge, et j'avais bien d'autres moyens d'obtenir la reconnaissance. Qui a dit que la magie ne faisait pas des miracles ? Un être bénéfique certainement ! Ou un ignorant mortel, allez savoir..

Sortie de ma réflexion par sa question, je fronçais les sourcils.. Photographe ? Comment le savait-elle ? Mon regard s'est faufilé directement sur mon sac où dépassait le fil de l'appareil.. d'accord, je comprenais mieux. Mais je trouvais cette fille vraiment, vraiment bizarre. Elle semblait plus sombre qu'au premier abord, plus colérique, plus impulsive que je ne l'aurais cru. Aller Mélinda, arrête de délirer et concentre toi sur la conversation ou tu risques vraiment de te faire griller !

« - Euh.. oui. » me suis-je contentée de répondre, mal à l'aise face au monde qui commençait à s'aglutiner autour de nous, sans que je n'en comprenne réellement la raison. C'était les soldes ou quoi ? Peut-être, à vrai dire je m'en fichais royalement. J'aurais voulu filer dans un coin calme où le soleil m'aurait offert toute la beauté d'un paysage à photographier. J'aurais aimé fuir ce contact avec l'univers, c'était pour cela que j'étais sortie de ma chambre d'hôtel.

« - Vous ne devriez pas être en cours ? » ais-je finalement demandé, d'un ton presque accusateur, ou tout du moins très suspicieux. Une jeune femme telle que celle-ci ne me paraissait pas l'innocence pure, et je me demandais si elle n'était pas en ces lieux pour fuir les responsabilités de la vie. Quelque part je m'en fichais, toutefois ça poursuivait cette conversation assez vide de sens, et sans réelle logique de continuité. Je n'étais pas très douée pour les relations humaines..
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MessageSujet: Re: Quand on ne sait pas : on ne dit rien !   Quand on ne sait pas : on ne dit rien ! Icon_minitimeMer 7 Avr - 23:37

Elle semblait s'ennuyer. Tout comme moi, bien sur, mais je pense que chacune d'entre nous essayait de convaincre l'autre du contraire ! Vous voyez, je suis assez perspicace, quand je veux. Seulement quand je veux, c'est pas drôle sinon. Je sentais l'air qui commençait à se réchauffer. Et c'était une très bonne chose, car je détestais le froid, je m'en étais fais un ennemi. Je sentais l'air qui se faufilait partout, je vis les cheveux de la jolie jeune fille s'envoler, tout comme les miens. Ce que je sentais aussi, c'était les regards qui se posaient sur nous, comme si nous étions deux criminelles. Je posais mes prunelles sur l'une d'entre eux, une fillette que ne devait pas avoir dix ans. Je la foudroyais du regard, un regard qu'on m'avait souvent dit méchant. Dire d'un adulte, mes profs. La petite fille explosa en larme et je me contentais de détourner le regard, un sourire satisfait sur mes lèvres. Bien sur, je tentais de reprendre mon sérieux, pour ne pas me trahir. Mais qui se méfierait d'une adolescente qui semblait contrariée de la vie ? Personne ? Peut-être Mélinda, mais je n'en savais rien. Je trouvais ça très drôle. D'un coup, les regards n'étaient plus sur nous, mais sur la fillette qui était toujours en plus et qui me dénonçait auprès de sa mère. Bien sur, je feignais de n'avoir rien vu, rien entendu et la mère gronda gentiment sa fillette pour avoir dit des bêtises. C'était si bien, de faire du mal ! Mes prunelles revinrent sur la jeune femme qui allait répondre. Une petite réponse non satisfaisante pour moi. Si elle aimait photographier, elle n'avait qu'à le dire. C'était magnifique, de faire des photos ! Tiens, je devrais essayer ! Malheureusement, le magasins devant lequel je m'étais arrêté était un magasin de musique. je ne pouvais pas trouver un appareil photo de professionnel dans un magasin de musique ! Je n'allais pas me contenter de cette réponse quand la jeune femme me reprocha de ne pas être en cours ! Mais de quoi elle se mêle ? Je fais ce que je veux ... ! C'est vrai que je séchais, mais qu'importe ! Les cours, c'est vraiment du n'importe quoi ! Comment pourrait-on supporter ça ?

«
Je devrais, mais les cours, c'est tellement barbant, et ça ne sert à rien, de toute façon. »

Ça ne sert à rien pour ce que je voulais devenir : quelqu'un qui serait un pro dans l'art de maitriser ses pouvoirs, ce que je ne faisais pas encore. Et c'était pour ça que je devais m'entrainer ! J'essayais d'avoir l'air concentré, mes les regards et les personnes qui s'aglutissaient autour de nous me faisait ... m'ennuyaient ! j'étais agoraphobe, pas très pratique quand on aime la musique. Ma tension monta rapidement et je bandais mes muscles, comme à l'accoutumée. Moi, être maléfique, je n'aimais pas la foule, car je me sentais exposée. Je pourrais, sans le vouloir, exploser et révéler ma magie, ce dont je ne voulais pas, bien sur. Il fallait que je change de sujet. Mais tout d'abord, je regardais autour de moi et je vis que dans la magasin suivant, il était marqué solde en gros, voilà qui expliquait tout. Je détestais les soldes. Juste le dernier jour, quand il n'y avait pas trop de monde ! Je venais quand même de m'acheter quelques vêtements -si je me souviens bien-. Et il fallait que je détourne la conversation de l'école. Je ne voulais pas qu'on m'accuse de sécher, même si c'était un peu vrai.


« Ça à l'air bien, la photographie, il faudrait que je m'y essaye ! Et que photographiez-vous ? »

Je voulais savoir ce qu'elle avait l'habitude de photographier ... Peut-être me recommanderait-elle un magasin pas loin d'ici ou je pourrais acheter un bel appareil ? Ce serait vraiment cool. Mais si c'était un Être Maléfique, alors, elle risquait de poursuivre une conversation normale, pour ne pas attirer l'attention. Pour l'instant, la foule m'énervait et je sentais que j'allais exploser. Il ne fallait pas.
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